La Forme n°1 (2012)
vidéo, 7 min. 12 s., couleur, sonore.
(sélection de photogrammes)
Cette vidéo est rythmée par deux temps avec son acmé, moment où l’eau est la plus tumultueuse, la plus déferlante évoquant une représentation du déluge. L’eau se déverse tel un torrent, cherche son cours, son lit et prend alors l’apparence d’un fleuve. Elle tourbillonne, s’infiltre partout et devient menaçante.
Puis, une fois l’eau « éteinte », s’installe une impression de fin du monde et de désolation. L’eau se retire comme si elle devenait souterraine et tout est rendu, dans un effet soudain, au minéral qui apparait alors comme un paradoxe.